

Alors, après ce week end bien agréable où vous avez peut être profité de notre patrimoine national en tout genre, je suis sûr que vous avez tout de même pris un peu de temps pour répondre au quizz qui vous était proposé !!
Voici donc les bonnes réponses !!
Vous avez:
Les conseils de laurence SAGOt de l'institut de l'elevage:
Avantages de grouper les luttes :
- Mises bas courtes avec des lots homogènes ce qui facilitent les traitements, les vides sanitaires.
- Adaptation plus facile de l’alimentation
- Meilleure gestion des haras de béliers
- Commercialisation des agneaux plus groupée
La lutte a lieu pendant la saison sexuelle de la brebis à savoir d’aout à décembre environ. C’est pendant la période où les nuits sont les plus longues que la brebis crée de la mélatonine qui déclenche l’ovulation.
Quelle durée de lutte :
- pendant la saison sexuelle ?
Les béliers restent avec les brebis un mois et demi à trois mois selon les exploitations.
En général, six semaines de mise en lutte permettent des mises bas groupées (équivalent de 2 cycles).
Il est bon ensuite de faire un diagnostic de gestation 40 jours plus tard (voir article suivant) pour s’assurer que les brebis soient pleines.
On préconise 1 bélier pour 40 brebis et 1 pour 20 à 25 agnelles, ces dernières devant avoir un poids suffisant (les 2/3 du poids adultes soit environ 25 kilos, être en capacité de manger du fourrage pour développer leur rumen).
Pour les agnelles, il est bon de mettre des béliers qui ont de l’expérience car une agnelle est craintive par rapport à une brebis. Par contre, le flushing est inutile chez elles avant la mise en lutte.
- Pendant la période de contre saison ? (de janvier à aout)
Les brebis sont déclenchées par un « effet mâle » (un bélier) qui entrainera une ovulation 2 à 3 jours après. Il arrive que la première ovulation ne soit pas fécondante donc il faut laisser le bélier le 2° voire 3° cycle pour être assuré.
Si on veut au maximum des mises bas groupées, on peut utiliser des béliers vasectomisés pour « l’effet mâle » : ils jouent le rôle de déclencheur d’ovulation mais n’inséminent pas les brebis donc on est ainsi assuré que des brebis ne vont pas mettre bas plus tôt que les autres.
Inconvénients : Ces béliers ne servent que 2 mois dans l’année !
Les conditions à prendre en compte pour les mises en lutte :
- Au niveau des brebis :
- Les brebis doivent être en reprise d’état pour favoriser la fertilité et la prolificité (entre 2,5 et 3)
- L’éleveur doit pratiquer une politique de réforme des brebis vides qui n’ont pas pris en lutte d’automne.
- Toutes les interventions provoquant un stress (tonte, déparasitage, vaccinations, parages d’onglons…) doivent être réalisées au moins un mois et demi avant la lutte.
- Au niveau des béliers :
- Ils doivent être âgés entre 1 et 6 ans. Surtout pas de bélier de l’année, leur capacité sexuelle n’est pas assez développée !
- Ils doivent être en bon état : Le flushing doit se faire 2 mois avant la mise en lutte, période de fabrication des spermatozoïdes)
- Les béliers doivent être déparasités
Je change de métier, je change de vie !
Ça vous tente ? Lisez le dossier d'Emmanuelle Mayer, dans le dernier numéro de Village. Des témoignages, des infos pratiques, des conseils, des portraits (Dont celui de françois Guy)... pour mieux s'y retrouver et oser franchir le pas
http://village.tm.fr/index.php?Menu=VMAG&ids=JYujqCplyUlnipgOjUyW&Action=1&idn1=1&idn2=128
Voila le programme du SPACE pour ce qui concerne la partie Ovine:
Dates | Horaires | Thèmes | Intervenants | Horaires | Thèmes | Intervenants |
16/09 | 11 à 12h 30 | Inauguration du SPACE OVIN
| Serge PREVERAUD - FNO
Marc HUMEAU - INTERBEV Nord-Ouest
Guy PERSONNE - GIE Bretagne | 14h 30 à 17 h | Concours Suffolk | Eleveurs sélectionneurs
et OS Suffolk - GEODE
|
La PAC Ovine 2014-2020 | Amélie VILLETTE - FNO | |||||
17/09 | 10 h 30 à 11 h | Les animations Ovinpiades :I l'ovin | Animateurs INTERBEV Ovins, professionnels et
techniciens ovins - Reconquête Ovine | de 14 h 30
à 15 h
| Grouper les mises-bas : quelle
durée de lutte ? | Laurence SAGOT - Institut de l'Elevage -
Reconquête ovine |
11 h à 11 h 30 | Les programmes de sélection des races ovines bouchères | Agathe CHEYPE - Pôle génétique Ouest - Institut
de l'Elevage | 15 h
à 15 h 30 | Intérêt des échographies | Pascal BERTHELOT - OVIOUEST | |
11 h 30 à 12 h | Présentation des caractéristiques
des races ovines exposées | Techniciens des organismes de sélection :
Cottentin-Avranchin-Roussin - Mouton Charollais -
Mouton Vendéen - Romane - Suffolk | 15 h 30
à 16 h | Le colostrum : son importance -
Comment mesurer sa qualité ? | Laurence SAGOT - Institut de l'Elevage -
Reconquête ovine | |
12 h à 12 h 30 | Les moutons Landes de Bretagne
et Belle-Ile : typicités et modes
de valorisation | Témoignages d'Eleveurs de l'association
Denved Ar Vro | 16 h
à 16 h 30 | Diminuer la mortalité des agneaux | Laurence SAGOT - Institut de l'Elevage -
Reconquête ovine | |
18 sept. | 10 h 30 à 11 h | Les actions sanitaires | Alban BARBE - GDS Bretagne | 14h 30 à 16h 30 | Les actions nationales en faveur
de l'installation ovine et ses
financements | Audrey DESORMEAUX - FNO - Reconquête Ovine |
11 h à 12 h | Les dynamiques des organisations
de producteurs ovins | Coralie CHAUMENY - Les Bergeries de Bretagne
Christophe GUILLERAND - OVIOUEST
Anne STAUB - Ter'Elevage Ovin
Pierrick CAILLARD - Vendée Sèvres Ovins -
Témoignages d'éleveurs ovins | 14h 30 à 16h 30 | Les conditions de réussite à
l'installation et présentation du
logiciel OVIPLAN | Vincent BELLET - Institut de l'Elevage | |
14h 30 à 16h 30 | Témoignages de 2 éleveurs
récemment installés et
présentation des
accompagnements par leurs
techniciens | Anthony CIVEL Eleveur du Morbihan et
Alain GOUEDARD - Chambre d'Agriculture 35
Aline PINEAU Eleveuse en Maine et Loire et
Laurent FICHET - Chambre d'Agriculture 49 | ||||
14h 30 à 16h 30 | Témoignages d'un cédant et d'un
repreneur dans le cadre d'un
contrat de parrainage | Raymond LE PRIZE et Thomas COURCIER | ||||
14h 30 à 16h 30 | Le Plan de Professionalisation
Personnalisé | Hélène AMOURIAUX - Conseillère du Pôle
Installation Transmission de la Chambre
d'Agriculture 35 et
Jean Paul RIAULT Président JA Bretagne | ||||
19/09 | 11 h à 11 h 30 | Intérêt économique de finir les
brebis de réforme | Laurence SAGOT - Institut de l'Elevage -
Reconquête Ovine | |||
11 h 30 à 12 h | Du matériel performant pour
améliorer les conditions de travail
| Jean Yves CONNAULT - France Ovi |
Plein de moments interessants à partager !
Prevenez Astrid si vous souhaitez que l'on mette en place un co voiturage
Petit rappel : Vincent a un troupeau de 500 Romanes mené en deux lots. Nous avons vu dans le premier article comment est mené le lot de 200 avec mise-bas en septembre . Le schéma est repris ci-dessous.
Quelques éléments du lot de 300 avec mise-bas en février
Lutte du 1e septembre au 15 octobre – mêmes dispositions que le lot de 200 -nb de béliers, échographies etc. Au 15 décembre les brebis pâturent du colza.
Au 1e janvier elles sont rentrées -avec une ration de maïs ensilé.
Après les mises-bas elles ont 600g de triticale en plus. Depuis notre visite en 2011, Vincent a réduit ses pertes à l'agnelage et sur agneaux jeunes.
il vaccine les mères contre la colibacillose
prévention d'arthrites avec désinfection du cordon ombilical, boucles etc
prévention du raide (myopathie alimentaire) par piqure de sélénium des agneaux à la naissance (sélépherol) les sols sont carencés en sélénium et le lait maternel n'en contient pas suffisamment. Un agneaux atteint a des problèmes moteur (ex paralysie du train arrière) et/ou un rythme cardiaque élevé. La prévention n'est pas coûteuse .
Allaitement artificiel. Il enlève systématiquement un des triplets et a organisé mieux l'allaitement artificiel.
Les agneaux sont en petits groupes de 10 (plus facile à surveiller) dans des cases bien protégées des courants d'air. La nuit il est possible de passer une bâche au dessus pour garder la chaleur. Il n'utilise pas des lampes chauffantes. Il a un accord avec un éleveur laitier à proximité qui lui vend du colostrum de vache. Ce lait est réchauffé ( froid = diarrhée) et mis dans des seaux avec tétines ( les clapets sont enlevés car le colostrum les bouche). Les seaux sont laissés 10 minutes dans chaque case (sinon les tétines sont arrachées)Au début les agneaux sont nourris 4 fois par jour. A 2 semaines c'est 3 fois par jour et à 35 jours ils sont sevrés ! Les agneaux ont de l'eau distribuée en petits abreuvoirs automatiques, granulés à disposition et paille à volonté . Au sevrage les agneaux sont déjà habitués au granulé et cela se passe sans problème . On voit dans les photos ces divers aspects d'un allaitement artificiel réussi et peu coûteux.
des seaux d'argile sont aussi mis à disposition dans les cases
Les mises bas se groupent autour d'un pic de 20 jours . Les adoptions sont assez faciles avec ces Romanes, elles sont très maternelles. Fin mars ce lot sort le jour avec une transition alimentaire (sorties courtes au début) .
Les agneaux sont sevrés vers le deuxième semaine de mai. Ils sortent sur des parcelles à proximité dans la journée tandis que leurs mères sont ailleurs et pâturent en permanence.
Vincent a sorti 680 agneaux sur un an . Son objectif est de 1 000.
Antiparasitaires.
Les agneaux ont un anti coccidien (Baycox) à 3 semaines.
En juin les agnelles ont un anti strongles - Cydectine Longue Action, qui va les protéger jusqu'à l'été
Autrement les vermifuges sont faits suivant des contrôles coprologiques. Pour les brebis cela veut dire très peu.
Piétin
Vincent a fait très attention à l'achat de son troupeau de base. Issu d'un troupeau considéré indemne. A l'entrée chez lui après passage au pédiluve il a fait un antibiotique à tous et inspecté les pieds . Il n'a pas de piétin. Les visiteurs mettent des surbottes. Il affirme que c'est une maladie introduite de l'extérieur par des animaux infectés . Aujourd'hui il ne passe pas ses brebis au pédiluve et ne pare pas les onglons. Il considère qu'elles marchent assez pour les entretenir en bon état.
et voici quelques photos du bâtiment prises au mois de mars(un ancien poulailler tranformé) Il manque un peu de lumière et il faut éviter les courants d'air mais au fil des années les ameliorations se pousuivent. il s'agit du loy de 300 qui a agnelé au mois de février.
Au jour où on met cet article en ligne (mi-juillet) on peut voir sur le schéma que les agneaux nés en fevrier sont vendus ou en fin d'engraissement. Leurs mères pâturent en attendant la lutte. Le lot de 200 est aussi en train de pâturer en permanence. Le travail de Vincent est surtout les changements de paddocks et les cultures (moisson , foin etc) Nous lui souhaitons un peu plus de temps libre pour sa famille et son vélo! Et merci (avec du retard ….) pour l'accueil , les explications et ...le far !
Au départ dans le Yorkshire
Idée de clôture fixe . Texte : Un instant!!! C'est Ethel, n'est pas?
c
Comment parler de Susan sans évoquer les mots suivants : Bonne humeur, Passionnée, Professionnelle, Créatrice de lien, Inventive, ….anglaise….. Et encore bien d’autres mots.
A l’aulne d’une carrière d’agricultrice bien remplie, à nous de vous présenter la « plume » du blog qui se retrouve souvent derrière les articles riches et variées de notre petit réseau.
Nous n’allons pas faire toute la généalogie de Susan mais sachez qu’elle a débarqué sur les terres bretonnes en 1996 après avoir crée une ferme laitière (brebis et chèvres) pendant 10 années dans le sud de la France.
N’étant pas du milieu agricole, cette géographe se forme aux joies de l’agriculture à partir d’un stage dit de 240 heures lui donnant la capacité agricole à l’installation.
C’est donc à Sulniac dans le Morbihan, qu’elle découvre par l’intermédiaire de la SAFER, un havre de paix où elle s’installe sur 18 hectares. Ce sera pour la race Texel que Susan « craquera » après avoir découvert ces moutons chez des amis.
Petit rappel des diverses qualités de ces moutons :
Il s’agit de moutons d’herbage, possédant une excellente conformation et un minimum de graisse de couverture, à la viande tendre et rosée.
Grâce à leur conformation exceptionnelle, les Texel présentent un pourcentage maximum de morceaux nobles : gigots, côtes et épaules. Ce sont les champions incontestés des concours de carcasses.
Susan, la sélectionneuse
Passionnée par ces animaux, Susan devient sélectionneuse pendant 5 ans pour l’UPRA.
Elle démarre son élevage avec 60 agnelles provenant de divers élevages.
Pour avoir plus de prolificité, les inséminations ont lieu en octobre avec des naissances qui arrivent tardivement au printemps. De ce faite, il est parfois difficile pour Susan de finir l’engraissement par manque de pâturage en juillet et aout (Et oui, il peut faire sec en Bretagne et l’herbe manquée !)
Désireuse d’être plus autonome, Susan abandonne la sélection et opte pour un mode extensif avec une lutte naturelle en automne aves des naissances aux beaux jours de printemps.
Elle diminue son effectif (de 80 brebis en 2009, elle passe à 50 en 2011). Dès lors, elle économise son fourrage, ses brebis passent beaucoup de temps dehors (sauf les deux mois d’agnelage) et le travail de paillage dans la bergerie devient moins pénible. La vente des agneaux a lieu fin mai sans sevrage par l’intermédiaire de la coopérative.
Les animaux sont rentrés en bergerie la nuit et complétés en céréales produites sur la ferme (1 ha de mélange avoine triticale ou 1 à 2 ha de vesce-avoine.) Si les brebis sont rationnées, les agneaux eux, sont engraissés avec des granulés achetés (environ1.6 T distribué d’avril à aout)
Le volet sanitaire, une priorité pour Susan
Si les diverses réglementations communautaires (conditionnalité de la PAC etc.…) ont accrues les exigences sanitaires auprès des éleveurs, Susan a toujours porté une attention particulière à ce volet sur son exploitation.
Lors de l’introduction de nouveaux béliers ou brebis dans le troupeau, elle sera toujours vigilante à ce qu’ils soient indemnes de contaminant.
Elle passera aussi beaucoup de temps à observer le troupeau au quotidien pour détecter au plus vite les animaux au comportement anormal.
Susan mettra également en place tout un protocole pour faire disparaitre le piétin sur son exploitation (cf. article dans le blog : Élimination du Piétin dans un troupeau ovin. Expérience vécue.) Et grâce à l’extrême vigilance lors d’achat de béliers (quarantaine examen des pieds etc.), le soin apporté rapidement aux animaux boitant, à la mise à disposition de blocs minéraux chargés en Zinc, cette maladie contagieuse a disparu de l’exploitation de Susan.
Susan, une des personnes à l’origine du groupe d’échange « mouton »
C’est par l’intermédiaire de la première « Récré Hall la ferme » qui se met en place sous les Halles de Questembert en 2002 que nous avons pour la plupart d’entre nous, la joie de rencontrer Susan. Elle s’investit pleinement dans la création de cette manifestation festive destinée à faire découvrir le monde agricole aux enfants et à leurs parents.
C’est l’occasion pour nous de découvrir le don de créativité de Susan ainsi que tous les trucs et astuces qu’elle détient dans son panier.
Qui n’a pas dans son sac, dans sa poche l’hiver, une petite boule de laine un parfait réchauffe-main, déstressant ou encore décoratif confectionnée par Susan ?
C’est depuis la mise en place de cet événement que Susan est fortement investie dans les réseaux GVA (aujourd’hui SEMAGRI sur le secteur de Questembert). Elle fait également partie des fondateurs du groupe d’échange mouton et « mère » du blog « Brebis en Bretagne ».
Grâce à son écriture, elle nous transmet la mémoire du groupe mais aussi une foule d’astuces, de savoir faire, de connaissance très utiles. Elle met aussi les éleveurs en relation entre eux que ce soit à travers une demande de stage, des petites annonces sur du matériel, des troupeaux….
Le groupe lui a permis de rencontrer d’autres éleveurs de moutons mais aussi d’autres producteurs ainsi que des personnes de la Chambre d’Agriculture. Tous ces contacts sont riches d’échanges et évitent l’isolement. Sans oublier la complicité, l’entraide créée entre tous….Et au cours de ces rencontres, il ya toujours une idée d’article qui germe dans la tête de Susan.
Susan, la passionnée des moutons
Regardez les quelques photos qui suivent et vous imaginerez sans mal qu’elle a, au cours des années, pu établir une complicité avec ses animaux qui le lui ont bien rendu. Et cette passion, elle l’a transmise à beaucoup d’entre nous…
Une nouvelle vie qui commence
Si Susan a décidé de prendre sa retraite cette année, elle ne laissera pas le groupe et le blog pour autant. D’ailleurs les 1800 visiteurs qui vont sur le site tous les mois l’encouragent à poursuivre dans ce sens.
Et quand on demande à Susan ce qu’elle doit retenir des atouts et difficultés de son métier d’éleveuse de moutons, elle nous répond :
« Les contraintes de l’élevage sont la présence quotidienne indispensable pour le suivi du troupeau qui empêche de partir quelques jours, les contraintes administratives qui se sont accumulées depuis quelques années avec le bouclage électronique, les déclarations diverses à faire.
Mais tout cela est compensé par la satisfaction d’avoir des beaux moutons et de bons résultats, de vivre au contact de la nature, des animaux, sans oublier qu’on est son propre patron et que nous sommes seul maitre à bord »…..comme sur un bateau où Susan et Jean auront à présent plus souvent l’opportunité de naviguer !
Bon vent à toi Susan et MERCI pour tout ce que tu as fait afin que le groupe perdure aussi bien dans le temps et la richesse de tes conseils et surtout ton écoute !
PS : Nous avons questionné Susan à propos du loup et de son retour dans certaines régions et voila sa réponse :
« Prés de chez moi, existe un village qui s’appelle le Poulblet et qui veut dire en breton « la mare au loup ». Donc je me dis que c’est un animal intégré comme le sanglier, le renard, la belette, le chevreuil, l’écureuil et tous les autres animaux ».Une belle fable !